100% BASQUE - 100% AUTHENTIQUE
LES MAKILAS
A PARTIR DE
340
€
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LE MAKILA
Le makila est un symbole de l’identité et de la tradition basque, et il est souvent transmis de génération en génération. Il est à la fois un objet pratique et un objet de grande valeur culturelle pour la communauté basque.
Il ne possède pas de pointe dissimulée et donc n’est pas une arme.
Le pommeau est taillé dans la masse en inox.
La canne TALAIA peut être entièrement personnalisé.
Il est possible de graver sous le pommeau votre devise par exemple.
Le bois aussi peut recevoir une gravure en profondeur.
Un embout en caoutchouc vous permet de marcher sur des sols durs sans glisser.
Les MAKILAS TALAIA sont réalisés en totalité au Pays Basque.
Le bois de frêne utilisé vient du Pays Basque et je suis très fier de faire travailler que des partenaires locaux comme:
LARTIGUE 1910 à Ascain,
BIJOUTERIE RODON à Biarritz,
KMS à Louhossoa,
PARAPLUIE DES PYRENEES à Pau,
Ce bâton de fatigue peut être entièrement personnalisé.
Je suis à votre disposition pour toutes questions.
ERIC BUREL ETCHEGOIN
06.58.32.91.82
MAKILA TALAIA
MAKILA TALAIA SUR FRANCE2
LE MAKILA
Le makila qui signifie bâton en basque joue un grand rôle dans nos contrées pyrénéennes, de tous temps il a été le compagnon fidèle du paysan basque.
Celui-ci ne saurait s’en passer.
Il lui sert comme bâton de fatigue et de défense, de même qu’il l’utilise pour guider ses boeufs accouplés.
Le makila existe à l’état rustique, tel que le fabrique le forgeron du village.
C’est le plus usité dans le pays, parce qu’il est le meilleur marché, le paysan se contente de bois simple qu’il a lui même cueilli.
Mais le vrai makila, soigné et bien fini, exécuté par des ouvriers de métiers, qui se succèdent de pères en fils dans se genre de travail est très répandu.
Il est destiné au paysan aisé et au bourgeois de la ville.
Il symbolise l’âme du basque.
HISTOIRE DU MAKILA
Histoire du makila
« Izan deia phanpaka » ? Y a-t-il eu bataille au makhila ?
« Ez , aita, ez » Non , père non !
« Pheuh ! ordian merkhatu tcharra » Triste marché alors !
Ce dialogue savoureux entre un paysan souletin et son vieux père est rapporté par le Dr Jaureguiberry dans le livre Les Basques de Philippe Veyrin.(1)
Selon ce dernier , c’est au cours du XIXème siècle que le makila prend peu à peu l’aspect qu’on lui connaît aujourd’hui et s’enrichit d’un aiguillon défensif.
Au Musée basque à Bayonne, sont présentés des makilas, aux côtés de quenouilles taillées dans le même bois et ornées de façon semblable.
Les makilas sont taillés dans du néflier.
Cette essence est flexible et résistante à la fois.
Elle peut sécher sans se fendre. Au Pays basque, le néflier pousse de façon spontanée et sporadique.
Le makila a un pommeau en corne ou en métal façonné au marteau, ses viroles sont ciselées en laiton, en maillechort ou plus rarement en argent et en or.
Le makila est une canne très prisée, qu’on se transmet de père en fils depuis des générations.
Ce serait Napoléon III, habitué des côtes basques, qui aurait instauré l’usage consistant à donner en présent un makila aux chefs d’Etat et aux personnalités.
Le makila est élégant, quel qu’en soit l’usage, pour la marche, pour la défense ( mais les forêts n’ont plus de brigands) ou pour la danse. Le lancer du makila est la partie la plus spectaculaire de la danse.
Il s’agit ici de le lancer le plus haut possible en le faisant tourner et le rattraper sans le faire tomber.
Si le makilari réussit, le public applaudit.
(1)Les Basques, de Labourd, de Soule et de Basse-Navarre; leur histoire et leur tradition, Arthaud, 1955.
Origines anciennes : Le makila basque trouve ses origines dans la région du Pays basque, qui s’étend sur le sud-ouest de la France et le nord de l’Espagne. Il est lié à la culture basque ancienne et a été utilisé à des fins pratiques et symboliques pendant des siècles.
Fonction pratique : Le makila était à l’origine un bâton de marche utilisé par les bergers basques pour les aider à se déplacer sur le terrain montagneux et escarpé de la région. Il servait également de canne pour soutenir les personnes âgées dans leurs déplacements.
Matériaux traditionnels : Les makilas sont fabriqués à partir du bois du néflier, un arbuste qui pousse dans la région du Pays basque. Le bois est soigneusement sélectionné pour sa qualité et sa durabilité.Travail artisanal : La fabrication d’un makila est un processus artisanal complexe qui nécessite des compétences spéciales. Le bâton est sculpté et décoré à la main, et il est souvent orné de ferrures en métal, de gravures et de cordes.
Symboles basques : Le makila est devenu un symbole important de la culture basque. Il est souvent offert en cadeau à des personnalités éminentes ou utilisé lors de cérémonies spéciales. Il est également associé à des valeurs telles que la fierté, la tradition et la solidarité basque.
Utilisation contemporaine : Bien que le makila ait conservé sa signification traditionnelle, il est également devenu un objet de collection et un souvenir apprécié par les visiteurs de la région du Pays basque. Certains artisans continuent de perpétuer la tradition en fabriquant des makilas de qualité.
PHOTOS D'ANTAN
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LE COUTEAU PALLARES SOLSONA
Les couteaux Pallarès sont des couteaux artisanaux fabriqués dans la ville de Solsona, en Catalogne, Espagne. Ils sont produits par l’entreprise Cuchillería Pallarès, une entreprise familiale qui existe depuis plusieurs générations et qui est réputée pour la qualité de ses couteaux.
La coutellerie basque TALAIA est revendeur officiel de COUTAU PALLARES.
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